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Phase croissante
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Phase croissante
Le Masque
La mort sans visage
Assassin cryptique, autrefois responsable des meurtres commandités de la Salamandre, aucune cible n'échappe jamais à l'un des tueurs les plus méconnus mais pourtant les plus efficaces de toute la Capitale.
Factions
Lignées
L'un de ses anciens frères venait de tomber, d'autres suivraient encore. Parce que c'était là tout le cœur de sa mission. Elle ne l'avait jamais encore rencontré, elle ne connaissait que son nom : Alvaro et n'avait eu de lui qu'un portrait à mesure que les doutes à son sujet grandissaient, la perspective de le voir s'échapper au bras d'une femme qui emporterait avec elle de nombreux secrets. Réunis comme il l'avait souhaité, mais dans la mort.
Elle ne ressentait nulle peine à cette idée, pas au moment de l'acte, ni ensuite de culpabilité lorsqu'elle avait menacé ce frère qui se tenait à la limite. Nombreux étaient ceux qui marchaient sur le fil du rasoir et se plaignaient ensuite de s'être coupés, pourtant les règles étaient énoncés au premier jour et connus de tous jusqu'au dernier.
Des règles qui lui avait été offert de faire respecter.
Perdue dans ses réflexions de cette traque cathartique pour les pulsions qu'elle refreinait en s'assurant toujours d'en faire son devoir et non un véritable plaisir, elle n'avait pas perçue la subtile présence qui s'était glissée jusqu'à elle, l'épiant dans l'ombre et sans un bruit. Lorsqu'elle le comprendrait elle s'en voudrait, mais au fond elle ne pouvait pas véritablement se reprocher que d'avoir été piégée par aussi doué qu'elle, peut-être plus encore. Simplement de ne pas avoir fait fit d'assez de vigilance et ça on ne l'y reprendrait plus.
Isolée au milieu des bois, seule dans une forêt désertée de toute vie par une nuit paisible, avant que sa vision ne se trouble laissant place à une multitude de symboles ésotériques jaunâtres tournoyant à lui donner le vertige, puis avant que l'obscurité vienne la cueillir à son tour, sa dernière vision fut un masque et deux yeux gris.
Ses membres sont bien plus légers à présent, dans son esprit un épais brouillard l'empêche de se remémorer avec précision les raisons pour lesquelles elle se trouve à présent devant cette imposante porte de fer démesurément grande et lui rappelant celle d'un château.
Elle devine des inscription gravées sur celle-ci et se rapproche en dépit de cause, derrière elle ne se trouvant qu'une obscurité palpable mais bien infranchissable. Ses doigts glissent sur la surface et elle découvre des lettres communes assemblées dans une langue qui lui est pourtant parfaitement incompréhensible. Elle assemble ses mots dans son esprit et tâchera de se rappeler plus tard de leur trouver une signification.
Al'doer ulu ussta shar valshath
Incapable de reculer, poussée en avant par une absence totale de rationalité face à cette expérience incompréhensible elle se décida à pousser la porte.
Dévoilant derrière elle un hall à l'architecture sombre et spécifique qui ne lui avait jamais été donné de voir : Quelques torches violacées dont elle ne parvenait pourtant pas à ressentir la magie, des angles pointus et menaçants, tout de fer et de pierres, des ombres dont elle ne parvient pas à déterminer les visages se mouvaient devant elle et elle choisit d'ignorer la rangée de portes sur ses flancs pour se concentrer sur celle qui lui faisait face et que son instinct lui intimait d'ouvrir.
Le contact avec le métal froid intima en elle un frisson d'excitation et fit ressurgir la dualité qui l'animait entre l'humanité et la noirceur des drows, qui l'emportait sur sa part maternelle. Quelques secondes supplémentaires lui furent nécessaire pour parvenir à la pousser de ces deux mains, quittant l'atmosphère froide et oppressante d'une pièce pourtant gigantesque mais habitée par le néant pour franchir le seuil d'une entrée plus humaine.
Une entrée aux formes qui lui parurent immédiatement improbables, irréels, comme si elle s'était retrouvée prise au piège dans un tableau. Une architecture inattendue, déroutante, aux escaliers et aux murs trop étriqués, aux marches inclinées vers leur centre à mesure qu'elle s'étirait vers le sommet de la pièce, qui n'était pourtant situé qu'à quelques mètres de plus qu'elle mais dont elle ne parvenait pas à contempler l'étage.
Agacée elle tenta d'appeler cette fois, sans succès et sans réponses. Autour d'elle le mobilier dénué de poussière mais aussi de vie, légèrement verdoyant tout comme les plantes à l'aspect artificiel lui rappelèrent soudainement un visage dont elle n'avait pourtant pas le souvenir, aux yeux d'émeraudes et aux accents de serpent. L'assassin chasse finalement cette vision à la fois inquiétante et réconfortante de son esprit, avec la certitude que cette bribe ne lui appartenait pas.
Le serpent semble toujours glisser sur sa peau, lui imposant un contact désagréable qu'elle choisit d'ignorer, elle n'aime pas beaucoup le contact physique, elle comprend aisément que lui non plus. Ses pas la mène dans les marches, elle sent la peur battre dans son cœur, mais sa curiosité d'humaine l'inciter à marcher toujours vers l'avant.
Les escaliers montent pourtant elle a la sensation de descendre, l'architecture à l'allure organisée a quelque chose de chaotique, comme conçue par un esprit en perpétuel affrontement entre ces sentiments. Aspirant à la fois à une discipline stricte et un penchant pour la destruction, tout comme son propre esprit l'emmenait parfois sur ces chemins avant qu'elle ne parvienne à développer de plus en plus sa propre carapace face à ces pulsions.
Elle descend, c'est une certitude à présent, des râles se font entendre à ses oreilles, elle n'est plus seule alors. Du moins le croit-elle, quelque chose s'hérisse en elle, éprise de liberté, alors qu'elle découvre les couloirs d'une geôle ancrée dans la réalité.
Le couloir lui semble à la fois vaste et étroit, la lumière a quelque chose d'étouffant. Ses pas pourtant la force à aller de l'avant, le vol de corbeau commis il y'a de ça bien peu ne compte plus une seule seconde, elle doit comprendre plus que toutes autres choses.
Derrière les grilles des ombres, elles ont formes humaines mais ne parviennent ni à la voir ni à communiquer avec elle, restent terrées au fond de leurs cages dont elle devine aisément pour s'y être déjà rendu qu'il ne s'agit là d'aucune prison réglementaire du Royaume de Roland. Elle poursuit sa route, attentive et inlassablement intriguée par le décor inquiétant jusqu'à percevoir au fond de celle-ci une ombre différente des autres, présentant plus de courbes et bien qu'elle soit incapable de deviner ses traits elle découvre à l'arrondissement de son ventre qu'il s'agit d'une femme, portant un enfant.
C'est une froide indifférence qui la saisit alors, jamais elle n'a aspirée à avoir des enfants, et la pitié ne fait pas partit de ses attributions, mais si la naissance d'un enfant prisonnier l'aurait autrefois fait réagir, ce n'est plus le cas depuis qu'elle se trouve dans ce lieu, à mesure que les secondes s'écoulent elle en vient à une évidence, tout comme ce qu'elle pense être des souvenirs ne lui appartiennent pas, il en va sans doute de même pour ses émotions altérées. Interrompue dans ses pensées par l'ouverture d'une porte latérale elle se détourne finalement de la mère a qui elle jettera un dernier regard avant de s'enfoncer dans un nouveau dédale.
L'obscurité est maîtresse de ce nouvel endroit et même ces yeux habitués ne parviennent à percer le noir, avant qu'une lueur orangée, rougeâtre, se mette à danser dans l'obscurité, rapidement suivis par d'autres. Le ballet auquel se livre les lumières attirent toute son attention, si bien qu'elle ne perçoit même plus la légère brise qui s'immisce entre ses cheveux, et l'odeur des terres extérieurs dissimulée par la puissance du bois brûlé et du souffre.
Des cris sifflent à ses oreilles, mêlés aux crépitements des flammes, mais elle demeure incapable de bouger face au spectacle d'un village dévoré par les flammes où une épaisse fumée vient étouffer les quelques survivants.
Incapable de réagir, autant qu'incapable de ressentir elle continue à contempler l'histoire se jouer sous ses yeux, tandis que des peaux de cendres surgissent des torrents de flammes dans leurs aciers d'ébène qui lui rappellent la première porte de son visage, arborant des formes arachnéennes sur leurs plastrons. Elle ne bouge pas, ils se contentent à leur tout de l'ignorer.
Les lueurs finissent par s'étouffer, et les ruines remplacent ce qui furent autrefois des habitations, les ombres des cellules portent des fers aux poignets et aux chevilles, ses sens perçoivent un claquement qui fait s'hérisser sa chair, les ordres sont sifflants, elle n'en reconnaît pas la langue mais la devine sans mal, tandis que les prisonniers bientôt esclaves s'enfoncent suivis par leurs maîtres et bourreaux dans les profondeurs de la terre.
Peinant d'en revenir à la réalité, elle n'y est ramenée que par le croassement des grands corbeaux venus se repaître des yeux des cadavres frais, le bruissement des ailes et le son de la peau détachée des corps fait fermer ses yeux.
Lorsqu'elle rouvre finalement ceux-ci, les ruines ne sont plus celles qu'elle connaissait, mais les murs sur le réveil d'une cité prospère qui deviendrait les nombreuses tombes d'un cimetière nommé Gathol.
Entre deux ruelles elle distingue une ombre recroquevillée, semblant attendre. Son attitude lui offre le sentiment que la seule chose qui viendra la chercher ici se trouve être une cape dirigée vers l'Autre Monde.
Grande est maigre, elle tourne le regard dans sa direction et pour la première fois l'hybride a le sentiment d'avoir été remarquée. Dans ses yeux gris elle voit l'humanité, mais elle reconnaît aussi le monstre y étant tapis. Et en ça elle reconnaît en lui un semblable, provoquant en elle des sentiments étranges et contradictoires, comme lorsqu'elle a découvert pour la première fois le corbeau répondant au nom de Zevran. Et cette simple pensée suffit à provoquer en elle une colère à son égard qu'elle ne se connaissait pourtant pas. Mais une colère ne lui appartenant pas.
Alors qu'elle tourne sur elle même la ville se métamorphose, la Puissante devenant celle qui lui succèdera en place et lieu de Capitale.
Ces basses rues sont sales et en cette soirée ces rues agitées, mais elle distingue dans une foule d'ombres un physique qu'elle reconnait sans mal, désormais habituée à percevoir le protagoniste principal de cet étrange récit. Plus large que les autres il semble dissimulé sous un voile, elle se décide à le suivre à contre-courant et traverse les personnages sur sa route sans que l'un ou l'autre ne s'en soucie.
Plusieurs ombres se retournent sur leurs passages mais elles semblent voir à travers elle, ou ne pas la voir du tout.
La silhouette qu'elle poursuit se retrouve ballotée, bousculée, pourtant elle ne parvient pas à la rattraper sans être ralentit par un flot n'ayant en théorie aucune incidence sur elle. Ses mouvements ralentis tandis qu'elle progresse dans une mélasse d'ombres du passé.
Elle est rapidement dépassée par d'autres ombres, à leur attitude elle devine qu'ils sont en chasse, et tandis que la proie regarde vers l'arrière elle distingue à nouveau son regard gris, sa double volonté, fuyante et à la fois agressive, l'attitude d'une bête prise au piège.
Mue par la curiosité et la nécessité de comprendre, se retrouvant quelque peu en symbiose avec cet animal traqué elle décide de les suivre jusque dans une ruelle.
Là, la silhouette aux yeux gris est à nouveau seule, son souffle rapide, son corps se soulevant au rythme de ses pulsations accéléré et tandis qu'elle baisse les yeux vers les pavés elle distingue tout comme sur les murs une effusion pourpre. Une forme d'extase la saisit, qu'elle peine à contrôler à présent, mais qui cède à la panique tandis qu'elle découvre les ombres allongés dans le chaos, comme des poupées brisées.
Alors il prend la fuite, et elle le suit éperdument, ce n'est pas elle qu'il fuit, elle le comprend finalement. Elle n'existe pas pour lui, contrairement aux ombres qui se retournent à nouveau sur le passage de cette silhouette marquée de quelques goutes de sang.
Une main se tend dans leur direction, une ombre indistincte que d'une certaine manière elle reconnaît, à ses yeux d'émeraudes perçants l'obscurité du voile ténébreux. Elle leur est rassurante, elle leur paraît puissante.
Et deux ailes d'un noir de jais, plumeuses s'étirent finalement dans son dos.
Le fuyard aux yeux gris est apaisé, malgré le sang qui macule encore ses mains. Il ne porte plus sa capuche et ainsi elle découvre un rideau de cheveux de Lanjis s'écoulant dans son dos.
Puis alors qu'ils s'éloignent, elle demeure incapable de les suivre et une nouvelle obscurité vient, cette fois elle l'accueille avec une certaine hâte, ayant parfaitement oubliée les circonstances de sa visite dans ce lieu insolite, poussée par sa soif de comprendre ce que l'un des membres les plus énigmatiques de la Maison du Corbeau pouvait bien lui vouloir en lui faisant retracer ce qui semblait être sa vie.
Dans cette nouvelle pénombre qui s'offre à elle et que ses yeux percent en partie elle n'a que quelques instants suffisants pour éviter un coup venu de sa gauche, avant de se mettre en garde, prête à contre-attaquer, son esprit la ramenant à l'hostilité qu'elle devrait initialement ressentir à l'égard de son frère Corbeau, altérée par la visite en ces terres inconnues du souvenir.
Un nouveau coup est lancé par une ombre dont elle distingue le regard bleuté, mais elle comprend finalement qu'il n'est pas fait pour l'atteindre alors que la silhouette aux yeux gris s'interpose, encore sans grande discipline mais avec une volonté indéniable. Les deux silhouettes échangent des coups et elle ne s'y attarde pas en comprenant qu'il s'agit là d'un entraînement qu'elle connaît déjà et concentre son attention plus loin, sur deux yeux d'émeraudes dissimulés dans l'obscurité tandis que la luminosité de la pièce grandit.
Alors qu'elle s'apprête à le rejoindre, ceux-ci disparaissent et la poussent à en revenir à la scène s'étant jouée dans son dos. A sa surprise l'ombre aux gris à grandis, celle au yeux bleus aussi. Ils se livrent à présent à un combat singulier acharné dont elle ne se souvient que trop tard de la finalité.
La lame traverse ce qu'elle devine être la gorge et pour la première fois une couleur aussi vive que le rouge éclabousse le paysage, le vainqueur aux yeux gris se saisit du vaincu aux yeux bleus et amortit sa chute tandis qu'ils échangent un regard qu'elle ne parvint à soutenir, secouée un instant par le souvenir, et préfère affronter le regard des lunes contemplant leurs successeurs.
Alors qu'elle baisse à nouveau les yeux, l'échange affectueux s'est terminé au même moment qu'à pris fin la vie du vaincu et derrière le vainqueur s'étire une ombre imposante aux yeux d'émeraudes qui lui font échapper un frisson, la sensation... de la mort, venant coller à sa peau, qu'elle tentera de débarrasser d'un mouvement machinal, sans succès.
Puis à nouveau le paysage se transforme en quelques instants seulement, une ville qu'elle peine à reconnaître, une ombre se faufile dans les rues, habituée elle reconnait à présent sans mal l'ombre aux yeux gris qui suivis par un oiseau de mauvaise augure.
L'ombre pénètre la demeure et l'oiseau s'envole à son tour dans la nuit. Finesse attend, pourtant elle le sait. Le bruissement des ailes du vol noir des corbeaux la font presque sursauter derrière elle, et à nouveau la couleur rouge teinte les rues et l'ombre qui s'échappe par les toits.
Elle ressent ce qu'elle a ressentit la toute première fois, cette fierté, sans mélange de culpabilité, mais aussi une forme de délectation qui cette fois ne lui appartient pas. Il éprouve un plaisir bien moins dissimulé que le sien. Il ne tempère pas aussi bien qu'elle ses pulsions, elle en est persuadée à présent.
La ville s'efface et laisse à nouveau place à l'ombre aux yeux verdâtres, elle lui semble à présent bien plus impressionnante et lui inspire un mélange de crainte, de respect et à la fois une étrange sensation d'être protégée, incapable de démêler le vrai du faux de ses propres émotions. Incapable aussi de faire un pas en avant ou en arrière elle reste statique, les jambes peu assurées, tandis que celles de l'ombre aux yeux gris dépose genou à terre et incline le visage dans sa direction. La silhouette aux yeux verts tend quelque chose dans la direction de l'ombre grise, et un oiseau se dépose sur l'épaule du disciple.
Les yeux verts se redressent dans sa direction et elle a le sentiment que du fond de ce souvenir il la voit. La sensation de mort s'imprègne à nouveau sur elle, elle peut en humer l'odeur, en percevoir la lourdeur, le goûter du bout de la langue, et elle détourne à nouveau le regard.
Jusqu'à ce qu'entre ces mains serrées elle constate une présence, son genou a touché terre, sa tête est basse, fuyant le regard d'un mentor tenant sa vie dans la paume de sa main. Et son regard fini par être attiré par l'objet qui lui sourit entre ses mains.
Elle sent le souvenir lui échapper, incapable de desserrer les mains, alors qu'elle touche enfin terre avec la réalité après ces années dans un autre esprit, elle resserre les doigts sur son arme. D'un geste elle consulte l'heure, il ne s'est écoulé que quelques minutes de ce 14 Yuyio.
Sans plus tarder, alors qu'elle en revient à lui, son corps s'élance presque de lui même et déplace sa lame sous sa gorge, elle ignore encore pourquoi tout ça, autant qu'elle ignore vraiment pourquoi elle le menace à présent.
Son souffle est court, son esprit est troublé, à mesure qu'il entame de retirer son masque elle sent son coeur s'accélérer, elle ne le quitte pas du regard, à présent plus hâtive de voir son visage sans le filtre de la magie que de connaître la vérité.
Et sans surprise ses yeux sont gris, ils sont les mêmes. Son visage lui aussi, lui rappelle son propre métissage, quant bien même le sien aurait hérité de la part maudite de leurs parents, ses cheveux sont immaculés, contrairement aux siens, parfait opposé. Ses oreilles sont aussi plus pointues que la moyenne, comme elle. Et en bien des points communs elle se retrouve inexplicablement en lui. Il sourit, son visage sombre n'y est évidemment pas habitué et elle ne peut s'empêcher d'observer plus attentivement l'oeil qui porte la cicatrice.
Avant qu'elle ait pu s'en rendre compte il l'a enlacé, d'une main elle serre ses doigts dans son dos, de l'autre ceux sur son arme.
Et à son oreille il murmure des mots qu'elle comprend cette fois sans mal, mais qui la désarment.
F'sarn dosst dalninuk
Âge : 145 ans
Date de naissance : 17 Mortis 1110
Race : Hybride
Taille : 184 cm
Métier : Assassin du Vol Noir
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