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Lignée Lius
« Vous n'êtes plus là où vous étiez, mais vous êtes partout là où nous allons. »
Date de création :
Réputation :
Inconnue
Neutre
Famille de sang versé, de soldates à chroniqueuses, elle porte la mémoire de ceux que Vesperae n'a pas retenus.
« Depuis quand ? — J'ai commencé quelques années après mon arrivée à Sonak. — Pourquoi ne m'en as-tu jamais parlé ? — Parce que tu n'as jamais demandé. On ne naît pas Lius, Ophélie : on choisit de porter le nom. — Et les prêtres de Dranig ? — Une bonne partie de ces ouvrages provient de leur temple, mais Lius a beaucoup de significations, et la majorité sont des fables. — Alors rien de tout cela n'est vrai ? — A toi d'en juger, ma fée. »
Murmure
Xuil ukt ssuu'hha, l'errdegahr fashkaus mina jal wund venorsh, lu'belbaus nossta ulu aphyon ; jhal natha wh'li dro'xunus. L'xonathull zhahus noamuth, jhal naut l'thalack. Dal l'katrill d'l'ust dazzan zhahus rosin l'ust Lius ; lu'xuil ilta asdf'gvert doerrus ril byr uss. Il ajakkol nindyn vel'uss zhahen nau mzild : naut er'griff nind kaaseel, p'wal nind zhahen nind qu'ellaren, jhal nind mal, p'wal nind zhahen nind i'sav. L'colnoh paken nind quortek ; ukt xa'los nind da'rex. Xuil l'byr fuma, nind rusvanus l'gru'u lu'paken rath l'sharorr d'Dauwan. Il keer l'dalharilen lu'oh ulu ajak, lu'ilta elamshin xunor, il della ilta vaen wh'li : "Nind orn yutsu, 'zil ussta ssivah."
« Te souviens-tu que je ne lis pas le drow ?
— Ce n'est là qu'une traduction en leur langue d'aujourd'hui, que certaines considèreraient châtiée.
— De quand date-t-elle ?
— C'est la plus ancienne mention à Lius que j'ai retrouvée ; elle serait nos origines.
— Dro'Xun ?
— Bien avant cela ; mais tu sais ce que l'on dit à propos de ceux qui oublient le passé. »
L'dusqup xunus doer rath, jhal nind inbalus zho'aminth ; naut l'detholusin. Nind dhentolar dal vedir Kaali, lu'morfel mina ajak.
Chant
— Par-delà les voiles, trois âmes orphelines : fées blanches de l'une, leurs ailes brésillées, sur le rocher cendré, aux champs des chœurs perdus ; aux étoiles et aux vents qu'aucune voie n'illumine, veillent l'arbre qui ne fleurira jamais plus. — Ses racines ne sont celles de l'éternelle : il renaîtra un jour, nom de ses cendres, mais de ses souvenirs ; et ses branches porteront au soleil les lys blancs des paix à venir.
« Et du silence qui suivit s'éleva la voix d'Enyalië. »
Cri
« Mais pourquoi elle a attaqué Gersende ?
— Parce qu'un jour, de petites flammes danseront à travers les ténèbres. »