Histoire

La Rose d'Isolation a, durant de très longues années, été considérée comme un mythe au même titre que le Luth du Tumulte et que la Boîte du Mirage, aussi bien que leur créateur ou créatrice : Phyledrisöna.

Phyledrisöna est réputé.e pour avoir été à la fois mage et oracle au service de Dranig. Ce que l'on sait, pourtant, de l'analyse du donjon c'est que celui-ci aurait contenu les traces de l'ingénerie de pointe permettant de conceptualiser le sacrifice d'engeances démoniaques d'une lignée de pactomanciens.

Phyedrisöna conceptualisa non pas le sacrifice en lui-même mais le vent de pouvoir généré par la libération des êtres enchaînés aux démons pour créer trois artefacts dont le nom s'est perdu en faveur de leurs surnoms. A ce jour, les légendes établissent même qu'ils furent conçus, à l'instar des objets divins, à partir des premiers éléments de Vesperae. L'on attribue à la Rose d'Isolation d'être conçue à partir du premier minerai creusé par un peuple libre. Cependant, nul n'a été assez longtemps en sa possession pour le confirmer ou l'infirmer.

La Rose d'Isolation est composée de douze pétales qui fonctionnent en résonnance et permettent dans une zone autour d'elle de lutter contre toute forme de magie, quelle qu'elle soit, annihilant même jusqu'à les conséquences d'un déséquilibre énergétique au sein d'un même être.

La Rose est la représentation de la réalité, là où le Luth du Tumulte représente l'illusion et la Boîte du Mirage l'entre-deux.

L'artefact a été retrouvé par Adélaïde Fossecrelle qui le portera en se faisant passer pour morte aux yeux de tous afin d'endiguer la corruption instauré par ses parents. Il fut également utilisé pour empêcher ses parents de pouvoir utiliser le pouvoir de Lucinda et ainsi profiter du pouvoir de l'ensemble des Thaumaturges, rendant possible leur destruction.

Depuis sa capture par Yseult Fossecrelle, nul ne sait ce qu'il est advenu de la Rose d'Isolation.