top of page

Brida Mellia

L'Aventurière

Brida est une aventurière et exploratrice à l'humour douteux.

Factions

Lignées

Famille Mellia

Caractéristiques mentales :

Exploratrice et aventurière, son choix de vie dépend directement de son amour pour l'inconnu et les mystères de ce monde ainsi que d'un fort tempérament intrépide. Ses années sur les routes, loin de la faire devenir un ermite, lui ont permis de rencontrer une multitude de personnes. Aussi, c'est une personne extravertie qui n'a pas sa langue dans sa poche, ainsi qu'un curieux sens de l'humour. Ce dernier est un trait particulièrement développé chez l'exploratrice, mais celui-ci est souvent un peu déroutant, que ce soient des jeux de mots, des traits d'esprit, de l'ironie, elle ne s'interdit aucun sujet. Aussi affable puisse-t-elle être, il y a deux choses qu'elle ne supporte particulièrement pas : que l'on s'en prenne aux gens qu'elle aime et que l'on remette en cause son honneur. L'exploratrice a l'amour des mystères, elle les chérit et considère que la plupart des ruines qu'elle explore ne sont que prêtées et elle prend un soin tout particulier à ne pas détruire ce qu'elle traverse. Elle a une profonde colère envers ceux qui souillent les lieux qu'ils explorent : en laissant des corps, ou des pièges désactivés, en brûlant la nature lorsque c'est au grand air... En bref, tout ce qui pourrait être un indice du passage récent d'un être humain. Il est difficile de gagner son respect, tout comme sa confiance, deux conditions pourtant essentielles aux yeux de Brida pour pouvoir nouer une relation, sa nature joviale n'est pour autant pas un masque.


Son amabilité est au diapason de ses colères, Brida fait partie de ces grands calmes qui ne s'énervent que très rarement, sa résilience à la pénibilité la fera dissimuler son agacement sous des piques amusées et taquines - ce qui ne change généralement pas de d'habitude - jusqu'à ce qu'elle ne veuille plus le supporter. A partir de là, elle favorise l'ignorance mais se retrouve parfois incapable de ne pas essayer de blesser son interlocuteur comme elle l'a été.


Elle a également déjà travaillé dans des équipes, auprès d'autres explorateurs ou aventuriers, si elle estime les compétences de chacun, elle préfère encore des personnes capables de faire l'effort de s'entendre, plaçant la coopération au-delà des compétences individuelles, sans que celles-ci ne soient trop en deçà, forte de son expérience elle a une tendance naturelle à vouloir guider mais laisse bien volontiers cette place qui l'empêche de papillonner dans les lieux qu'elle explore pour y découvrir tous les secrets ancestraux qui s'y dissimulent et aller au-devant du danger.


Brida a développé, à cause d'une aventure qui a mal tourné, une légère claustrophobie latente, depuis si elle ne passe pas de front dans un endroit, ou si elle est enfermée dans une pièce trop longtemps, il peut lui arriver de très mal réagir. Si celle-ci est la plus importante, elle cultive son propre jardin secret de peurs et autres cauchemars avec beaucoup de discrétion.


 

Caractéristiques physiques :

Brida Mellia est une silhouette atypique, bâtie comme un arc, on distingue sous sa peau rouler de longs muscles affinés. Son regard brun est franc, souvent entouré de charbon, qui viennent leur apporter une certaine profondeur. Ses traits, volontaires, soulignent des lèvres presque trop larges pour son visage, créant un visage plus atypique que réellement séduisant. Ses cheveux bruns mi-longs arrivent au milieu de ses omoplates et sont le plus souvent rejetés en arrière révélant les boucles d'oreilles en or. L'exploratrice est une femme de goût, ses vêtements dont la conception semble simple d'apparence sont d'excellente qualité, le tissu a été longuement travaillé. Sa chemise remontant sur son cou en un col, semble suffisamment épaisse pour avoir été doublée d'une protection mais attire l'œil de par les portraits qui sont brodés sur celle-ci. Un pantalon vient marquer sa taille avec la ceinture où reposent son glaive et sa hache.


Le glaive est une arme mi-longue, plutôt long pour un glaive et trop petit pour être une lame conventionnelle, l'ouvrage particulièrement travaillé avec autant d'attention au fourreau qu'à l'arme elle-même. La lame, longue de 45 cm dont seul l'un des deux tranchants est affûté, est composée de gravures diverses et variées difficiles à reconnaître, seul et unique indice de l'âge véritable de l'arme. Si au premier abord elle semble neuve, les gravures symbolisant les reliefs de contrées aujourd'hui oubliées ou qui n'ont peut-être jamais existées sont d'un style trop ancien, pour les fins connaisseuses, pour que l'arme soit aussi neuve qu'elle semble l'être. La garde, de taille réduite est simple, tout du moins, jusqu'à ce que l'on se rende compte que les formes aux extrémités de la garde sont deux crânes. La fusée semble être fait de cuir entrelacé permettant une meilleure adhérence et, sur le pommeau de couleur sombre, on distingue de nouveau des gravures représentant une scène avec une silhouette androgyne endormi et un squelette se penchant sur celle-ci.


Le fourreau contient également son lot d'originalités et de spécificités, fait de la même matière que la fusée de l'arme et d'un cuir bien entretenu formant un damier, alternant avec des surfaces métalliques aux deux extrémités et le long du fourreau. Sur les zones en métal on retrouve les crânes surmontés de coiffes aussi étranges que difficiles à distinguer ainsi que des fleurs, sur la partie en cuir on retrouve deux symboles avec des chimères.


Sa hache quant à elle, attire bien plus le regard, à double tête, l'acier a été gravé de manière à représenter de multiples traits. Les têtes de la lame se recourbent en de fines pointes à l'aspect létal vers la garde. Quatre fixations pour la lame apparaissent au sommet de l'arme, composées de quatre clous qui renforcent d'autant plus la structure. Le manche de l'arme est en bois, stylisés et taillé afin de garder panache et d'alléger l'arme, renforcé de cuir à de multiples endroits, l'arme assure d'avoir une prise stable quel que soit l'endroit où on l'attrape.


Par-dessus tout ceci, elle porte une veste ivoire qui descend jusqu'à ses mollets, toute en simplicité, le tissu semble toutefois d'excellente qualité et la coupe ne souffre d'aucun fil qui s'égarerait.


Enfin, une arbalète vient finaliser sa tenue qu'elle accroche en bandoulière par-dessus sa veste blanche. Renforcée en or, le bout prend l'aspect d'un bec d'aigle et de nombreuses gravures viennent de nouveau souligner l'excellent ouvrage de l'arme, c'est la seule marque de richesse réelle et visible que Brida porte.


 

Histoire :

L’amour des sans nom

Ygrid et Osbert ont passé le plus clair de leur enfance à l'orphelinat d'Abheleim. Ygrid est arrivée à l'âge de trois mois après la mort de sa mère en couche et sera nommée ainsi par l'orphelinat. Osbert quant à lui arrivera un deux plus tôt, à l'âge de trois ans à la suite du décès de sa mère, elle aura été assassinée dans un des bordels de Proncilia par un client trop violent. Les deux orphelins sans nom se rapprocheront rapidement l'un de l'autre, il prendra tout d'abord le rôle de grand frère, veillant sur la fille de l'orphelinat, puis avec le temps et l'écart d'âge se faisant moins ressentir, ils devinrent amis. Ygrid manquera de rejoindre les Sgurzs, ramenée à la raison par Osbert et peu à peu ils apprendront à se bâtir un avenir sur les drames de leur passé. Ils auront de multiples vies avec pour seule constante l'amour qui naissait entre eux, tantôt paysans, bûcherons, mercenaires jusqu'à devenir forgerons en s'installant à Ibrin. Leur mariage fut célébré alors que le ventre d'Ygrid s'arrondissait déjà. C'est ainsi que les deux orphelins sans nom construiront leur famille par eux-mêmes, elle donna naissance à une petite fille qui s'appellera Brida. Soucieux du bienêtre de leur enfant, voulant lui offrir un cadre, ils la choyèrent parfois même un peu trop lorsqu'ils compensaient l'absence des leurs dans leur enfance. Brida a ainsi vécu dans un cocon protecteur qu'elle a détesté à son arrivée dans l'adolescence.


L’amour de l’intrépide

Elle compensa à son tour cette sur protection en entamant une crise d'adolescence des plus terribles. Elle se retrouva alors perdue dans le mont Khuzdul à 12 ans, se pensant suffisamment maligne pour y survivre. Au terme d'une battue, elle fut retrouvée pratiquement morte d'hypothermie. Ses parents, terrifiés à l'idée de perdre leur fille eurent l'espoir que cela puisse l'assagir, ce qui fonctionna, jusqu'à ses 13 ans. Elle eut ses premiers émois amoureux envers une des jeunes prêtresses du temple de Narthe, qu'elle rejoignait tous les jours sur le flanc de la montagne au grand dam de ses parents. Elle la courtisa, tombant un peu plus amoureuse à chaque fois qu'elle tentait de la faire tomber sous son charme. Elle demanda à ses parents d'apprendre le combat, sa mère accepta et son père refusa considérant que c'était trop dangereux. Ils trouvèrent un compromis, craignant qu'elle ne cherche un moyen d'apprendre seule et c'est ainsi qu'elle mania pour la première fois une arbalète. Plus que de trouver un nouvel argument pour conquérir la prêtresse, elle se découvrit une passion pour cette arme.


Les exigences de l’avenir

En parallèle l'autre point du compromis, particulièrement important aux yeux de ses parents était d'entamer de se créer un avenir. C'est tout naturellement qu'elle fut poussée à devenir une chercheuse, non pas uniquement car elle cherchait les ennuis, mais aussi parce qu'elle avait une appréciation certaine pour les énigmes. Et c'était une excellente situation, selon ses parents. Elle voyagea avec eux jusqu'à Trigorn, où elle étudiait. Elle passait six mois de l'année à suivre ses études de chercheuse, les six autres à travailler à Ibrin, afin de participer aux frais de ses études. Elle acquit ainsi une multitude de connaissances historiques et techniques grâce à ses études, et le savoir-faire de la forge grâce à ses parents. Au milieu de tout ça, elle continuait de faire le mur, presque quotidiennement, malgré les punitions qui, de toute façon, ne l'inquiétaient pas vraiment. Lorsqu'elle était chez ses parents, ses pas la menaient inévitablement vers Khuzdul, avoir failli mourir n'avait pas fait taire son envie de l'explorer. Cette montagne la fascinait de bien des manières, elle s'entraînait de longues heures durant à l'arpenter lorsque la prêtresse ne souhaitait pas la voir. Peu à peu, la dynamique s'inversa lorsqu'elles devinrent deux jeunes adultes, Brida entama de moins chercher à la voir et passer plus de temps à parcourir les dangereuses routes de Khuzdul qu'elle connaissait désormais par cœur, armée de son arbalète pour effrayer les grizzlys. Lorsqu'elle était à Trigorn, elle disparaissait dans les forêts, ce qui lui valut quelques blâmes, mais l'adolescente avait une technique très affinée pour disparaître l'air de rien, que ce soit en convainquant les surveillants — qui n'en avaient pour la plupart rien à faire — ou en escaladant le bâtiment lui-même. Parfois, lorsqu'elle savait qu'elle avait le temps, elle s'aventurait plus loin... C'est ainsi qu'elle découvrit les ruines de Rostheim où la Chercheuse Annie avait été envoyée, et entama de faire des recherches sur cette cité qui lui semblait glorieuse. Au cours de ses études, elle fit la rencontre de Syrielle Delacourt à l’âge de 15 ans. Lors de ses études, elle rencontra, lorsqu'elle daignait être là, Syrielle Delacourt, qui tirait la plupart du temps une tête de huit pieds de long. On racontait de nombreuses choses à son sujet, mais Brida ne se souciait pas des on dits et se mit en tête le défi de la dérider. C'est ainsi que naquit leur amitié, qui à quelques rares reprises manqua d'être davantage que cela. Si on l'écoutait, elle dirait que c'est la seule bonne chose qui lui soit arrivé durant ses études.


Vent de liberté

Les chercheurs apprenaient à développer leur sens critique, qualité essentielle dans leur métier, mais jamais à l'encontre du Royaume, des lois ou des règles. Il sembla à Brida que l'élitisme qui entourait ses études ne devrait pas exister. Pire encore, au plus elle observait Syrielle évoluer et se hisser parmi les meilleurs, plus il lui semblait que les chercheurs en herbe devaient se conformer à devenir quelque chose d'autre, pas quelqu'un mais bien quelque chose. Ils affinaient leur froideur naturelle qui était déjà en abondance chez son amie. Brida entama alors une campagne, visant à détruire ce qu'ils essayaient de créer chez les chercheurs. Sur tous les parchemins, sur les murs, sur les chaises elle écrivit à l'encre ou avec un couteau : science sans morale n'est que ruine de l'âme. Elle se fit donc expulser à 18 ans et retourna chez ses parents. Elle sut qu'elle les avait déçus ce jour-là, mais il lui était inconcevable d'accepter sans broncher, de ne plus éprouver qu'à demi, de tolérer de mener certaines des expériences. Brida était désormais forcée de suivre les traces de ses parents, et de n'observer que Khuzdul en oubliant la mer au large de Trigorn. Tout du moins, en théorie. Car la pratique fut bien différente, elle avait suffisamment appris la théorie et ne désirait que le mettre en pratique. Aussi, elle essayait de convaincre ses parents de la laisser s'en aller, ceux-ci craignaient de perdre leur fille et le refusaient catégoriquement... C'est ainsi, que par une nuit de Lanjis, Brida s'en alla en ne laissant derrière elle qu'une lettre.


L’amour de Poliomée

Dès lors elle se qualifia d'aventurière en quête d'aventures. En quête, oui, et peut-être avait-elle quelques notions de survie, mais finalement connaissait bien peu de choses de l'aventure. Ses premières furent de dramatiques échecs dont elle porte encore les cicatrices : une dans la cuisse lorsqu'un sanglier l'avait embrochée, une sur la cheville, un piège s'étant refermé sur celle-ci, une particulièrement importante sur l'épaule lorsqu'elle s'est fait détrousser par des bandits. Bref, ce fut une époque particulièrement difficile, elle a hérité d'ailleurs sa claustrophobie, ainsi qu'une bonne dose de peurs aussi diverses et variées que le sont l'esprit des hommes quand il s'agit de protéger un trésor.


Mais, peu à peu, sa persévérance paya, et les missions mieux choisies lui permirent de commencer à les réussi. Ce qui ne fut pas une mince affaire. Brida, aujourd'hui, a un jeu avec elle-même, que chaque objet qu'elle porte fasse écho à l'une de ses aventures. De sa première vraie réussite, elle porte les boucles d'oreilles, pas que l'aventure fut particulièrement dangereuse, mais Brida ne commit aucune erreur. Pas une seule fois elle plaça un pied trop en avant, chaque piège qu'elle désactivait, elle le réactiva, elle récupéra ce pour quoi elle était payée et laissa une multitude de trésors derrière elle... À l'exception de ces boucles d'oreilles entièrement faites d'or. Brida a pour Dranigba l'amour de ceux qui suivent les traces de Poliomée. Sa vie fut alors rythmée par les explorations, découvrant des peuples qui vivaient en marge de royaumes, au plus profond des forêts. Dans le sable à perte de vue de Minghelle, elle rejoignit brièvement les nomades suite à un service rendu et explora la savane et la jungle du royaume Léonin. Au fur et à mesure du temps, elle entama d'envoyer des missives, son départ lui avait semblé justifié, essentiel à la survie de son être, ce n'était pas une absence d'amour, loin s'en fallait et ne le regrettait pas vraiment sans oser se présenter face à ses parents. Alors, l'intrépide couarde leur relatait ses aventures, les lieux qu'elle explorait, le monde tel qu'elle le voyait. Certains appelleraient ça une philosophie de vie


Sa hache provient d'un peuple qu'elle découvrira non-loin des dangereuses forêts du Royaume de Canyl, en se dirigeant vers l'est, au sud elle savait être les bois éternels de Cirel. Elle nourrit l'objectif de réussir à y aller un jour, d'en arpenter les dédales de racine d'arbres ayant survécu à l'ère démoniaque, des arbres millénaires ayant côtoyé dame nature avant même Danava. Mais, comme dans chaque chose qu'elle explorait, la grandeur de ces lieux dépendait de leur capacité à protéger leur territoire, et Brida le sait, elle n'en est pas encore capable. Au nord, les marais, eux elle les connaissait, elle avait déjà fait de nombreux voyages dans les terres hostiles des naggas. Ses premières visites avaient failli la mener à la mort, alors elle avait élaboré des plans saugrenus dans le but de se faire accepter des naggas. L'œuf, une longue histoire qu'elle vous contera peut-être autour d'un bon feu de camp, lui permit d'y parvenir. Les Wapiganaji vivaient donc à ce croisement des peuples, dans une zone qui n'avait jamais connu la guerre, une clairière au milieu d'une des forêts les plus épaisses du continent qu'ils préservaient, au prix du sang, une vie frugale avec une vénération pour les dieux et pour l'équilibre, elle s'en alla aux côtés de Mizani, une chaman. A ses côtés, elle apprit à cheminer au milieu des arbres, à repérer les signes de la présence d'un des esprits qu'elle était incapable de voir. Elle vécut avec eux plusieurs mois, durant lesquels elle apportait sa part, apprenait leurs méthodes, et explorait les horizons. La hache lui fut offerte à son départ, qu'elle ne quitte plus depuis. Elle quitta le clan avec Mizani, la mena dans le Royaume des Hommes, à son tour elle lui fit découvrir la culture et les régions qui, épargnées par les cités, demeuraient sauvages. Avant qu'elles ne se séparent, la chaman la retrouvera à quelques rares occasions et sera conviée à son mariage qui viendra bien plus tard.


Elle arracha son glaive au milieu de ruines antiques, inexplorées depuis des siècles, localisées dans les tréfonds du mont Fulmyne lorsqu'elle avait pris le bateau pour explorer Harroka. Elle y découvrit alors une culture lointaine qu’elle connaissait pourtant pour l’avoir déjà vue dans d’anciennes ruines sur le continent. Aujourd’hui encore, avec de l’aide, elle apprend à découvrir les pouvoirs de cette arme qu’elle maîtrise mal.


Âme Sœur

Un jour, qui marquera un tournant décisif dans la vie de Brida, elle eut vent de la recherche d’un guide dans d’anciennes ruines. Brida y vit alors l’occasion parfaite : découvrir de nouvelles ruines ainsi que de nouvelles personnes. C’est là qu’elle fit la rencontre de Nelly Mellia. Elle remplit la mission ramenant à l’enchanteresse un ouvrage de magie perdu dans des ruines à l’ouest de Rostheim. Bien qu’ayant reçu son paiement, Brida tenta de la convaincre de discuter, d’une part parce qu’elle aimait ça, d’autre part elle lui plaisait. Au fil de la discussion, Brida se mit en tête de lui proposer une autre mission, puis une suivante, et encore une suivante, fouillant dans ses souvenirs pour trouver de quoi intéresser l’enchanteresse.


Celle-ci acceptera, même lorsque les missions auront l’air plus éloignées de son objectif, sans sembler s’en soucier. Les deux femmes se rapprocheront et cette année-là, le 11 Persu 1247, les cloches célèbreront leurs noces.


Un an plus tard, leurs vies respectives reprenant leur cours, Brida fut appelée par son ancienne amie Syrielle, ce qui instaurera des tensions au sein d’un mariage fleurissant puisqu’elle travaillera auprès de la femme. Sous le pseudonyme d’Amélie Dellya, elle signera les travaux sur les Marcheurs auprès de Syrielle Delacourt, un pseudonyme choisit pour apaiser les tensions et rappeler à son épouse qu’il n’y avait qu’elle dans ses pensées.


De nos jours

Brida continua alors ses aventures, durant lesquelles elle découvrira son arbalète. Nelly se chargea d’enchanter ses objets afin de la protéger, en parallèle, rapprochée de ses anciennes études de chercheuse par la Syrielle, elle continua de travailler aux recherches.


Convaincue par Nelly, elle affronta ses peurs d’adolescente pour retourner à la rencontre de ses parents et leur annonça son nom. La famille des Sans-Nom adopta immédiatement la femme de leur fille, ravis d’enfin la retrouver.


C’est jusqu’à aujourd’hui que sa vie fut rythmée par l’amour : de la recherche, des aventures, des explorations et bien sûr de Nelly.


Lorsqu’elle apprendra que Nelly a été blessée au cours d’un vol, celui même de son cadeau : les plumes de l’éveil, elle s’en ira à la recherche de son présent souhaitant protéger le monde des créations de son épouse et surtout ayant une dent contre tous les pillards et autres associés, elle y vit une raison de se venger d’eux. Jusqu'à ce qu'elle soit blessée.


Brida Mellia

Âge : 34 ans

Date de naissance : 11/07/1220

Race : Humaine

Taille : 173 cm

Métier : Exploratrice et aventurière

Campagnes jouées

Histoires liées

Retrouvez ici les personnages aux histoires liées.

Mathilde Delacourt

Mathilde Delacourt

Will Anva

Will Anva

Nelly Mellia

Nelly Mellia

Syrielle Delacourt

Syrielle Delacourt

Textes liés

Retrouvez ici les textes impliquant le personnage.

Nelly raconte sa vie au coin du feu

État civil

Artefacts liés

Retrouvez ici les artefacts liés au personnage.

Manteau d'Aventurier
Murmure du vent
Plumes de l'Eveil
  • Logo-forumactif.png
  • Logo_Discord_2015
bottom of page