Cœur en fusion
Histoire
C'est en 1244 que l'Adversaire se rendra au Bazar des Perles Noires pour obtenir du Marchand un pendentif capable de contenir un puissant élémentaire, en échange d'un service dont ne nous savons rien, Samaël acceptera, puisant dans le pouvoir du démon c'est ensemble qu'il formeront un artefact prison à quatre mains.
Celui-ci sera alors confié à Alyria lors de l'un de ses voyages à Harroka en mission pour capturer un élémentaire. Elle croisera la route de "Ragnis" et poussée par son impulsivité et son excitation elle engagera le combat sans se soucier des conséquences, l'affrontement dantesque tourna en la faveur de la démone, en cause la présence de l'Adversaire aux côtés d'Alyria. Celle-ci emprisonna l'élémentaire, et encore échauffée des blessures subies par la créature elle décida de corrompre et de plier à sa volonté deux esprits de feu qu'il avait invoqué, l'Adversaire leur insuffla la conscience et ils devinrent Alizrabral et Talvinar, forgés dans les flammes de la colère d'Alyria et par les murmures de l'Adversaire.
Le premier porteur de l'objet devint Ethan Brehen, protégé et amant d'Alyria durant les événements du Conseil des Mages, c'est là que le pendentif trouva son nom : Coeur en fusion.
A la mort d'Ethan, le pendentif fut récupéré par Brunehilde Richetour qui le conserva en sûreté, jusqu'à l'Echiquier du Pouvoir, lors de sa captivité celui-ci fut dérobé par les démons jumeaux et remis à Alyria.
Las de ne pas trouver de porteur digne de la volonté destructrice de l'élémentaire parmi les pyromanciens rencontrés sur sa route, Alyria confia l'objet aux jumeaux dans l'espoir qu'ils le remettent eux même à un mage digne de son pouvoir.
Nous n'avons aucune certitude à ce jour que cette prison puisse tenir toujours et que Ragnis soit incapable de s'en libérer.
Propriétés
Le coeur en fusion est un objet puissant, permettant à un pyromancien d'employer le pouvoir destructeur de Ragnis l'élémentaire enfermé. En retour, le mage demeure touché par la psychée du monstre et ne peut que chercher à y opposer sa propre volonté, pouvant causer des ravages irréversibles.
A ce jour l'élémentaire n'a jamais dépassé le contrôle de son possesseur.