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La milice aura reçue dans ses locaux les témoins des événements récents et ayant luttés contre eux en les personnes de Za'addha, Evelynn et Spy, qui auront été rejoints par TeTrOs et Nils remplaçants respectivement Arutha et Pierre chargés de rester sur place pour protéger Trigorn de potentiels futurs assauts.
Lenny aura permis au groupe de se réunir dans une salle de réunion, donnant l'occasion à Evelynn de transmettre les informations obtenues au près d'Aozora et en compagnie de Ranakha, dont une partie des informations de celui-ci transmises au préalable à Zad par son confrère léonin.
Evelynn fournira aussi au groupe le portrait issu de ses souvenirs et dessiné par Aleister de Yog-Sothoth, la démone invoquée lors de l'attaque du 9 mortis au port.
De son côté Nils déposera un paquet devant les attablés et leur décrira son contenu : La main de Salomon Hornec, tranchée et envoyée à Adonias Hornec par un commanditaire inconnu en guise de menace.
Quelques théories fuseront entre l'association des malfaiteurs avec les monstres, comme l'Organisation et ses chiens démoniaques à Proncilia, mais aussi que le fragment de miroir détenu par Zadok pourrait être selon Spy un éclat du miroir de Zandaros, et l'interrogation de TeTrOs au sujet de la capacité à briser celui-ci, stupéfiant une partie de l'assistance fermement opposée à cette suggestion.
Le groupe s'accordera sur le départ pour Coacville, rendu possible dans les plus brefs délais par les dons d'Aozora, d'abord pour pouvoir trouver Vustrak l'Ancien, susceptible de sceller à nouveau la Yog, mais aussi de potentielles traces des cultistes unis autour de ces monstres.
Après s'être engouffrés dans un portail rosé ouvert par Aozora, les braves traverseront divers paysages enchanteurs que seul l'Ether, ou l'Entre-Monde selon les propos du coacien pouvait avoir à leur offrir.
Des paysages parfaitement impensables pour Vesperae, constitués d'un air plus dense leur étant jusqu'alors parfaitement inconnu et dans lequel ils s'étaient à présent mis à flotter jusqu'aux firmament colorés et nuageux.
Un voyage au travers de sensation inédites et troublantes qui feront perdre pour un temps de vu leur objectif à nos aspirants de vérité qui s'émerveilleront devant des nuages à la fois vaporeux et cotonneux, aux couleurs inattendues.
Leur traversée de ce qu'il leur sembla être un rêve éveillé finira par s'interrompre après quelques ciels aux multitudes de palettes colorées plus tard.
Venant les faire traverser une couche nuageuse liquide, semblable à de l'eau, pourtant en plein ciel irréel.
Jusqu'à les faire émerger, d'un fleuve, sans être mouillés de la moindre gouttelette d'humidité, dans une forêt aux teintes toujours plus inattendues, dans un silence complet, et dont la vision n'était animée au sein du paysage figé que par les simili lucioles égayants le chemin devant eux, tandis que sous leurs pieds flottants faiblement à la surface se trouvaient en place du fleuve l'océan de nuages et ciels colorés qu'ils venaient de traverser.
Cette vision fascinante d'un nouveau monde fut interrompu par un bruit sans commune mesure, des mondes entrant en collision, tandis qu'un portail fissurait la réalité pour s'ouvrir à eux, sous la vision d'un ciel en perpétuel mouvement, de plus en plus menaçant et incompréhensible.
C'est du portail qu'une patte imposante, semblable à celle d'un léonin démesuré replaça sur leurs gardes les arpenteurs de l'Entre-Monde.
Et de celui-ci qu'émergea finalement un corps entier, d'une chimère imposante répondant au nom qu'ils apprendront au cours de la discussion, d'Argus, un voyageur dimensionnel.
La chimère mettra en garde les imprudents s'étant à leur tour présentés, et parmi lesquels le monstre reconnaîtra le nom de Nils, des dangers liés à leur présence dans l'Ether, pouvant faire exploser leur corps en cas d'exposition prolongé à celui-ci, dont ils commenceront à ressentir les effets.
Après quelques questions, dont une d'Argus dirigée à l'encontre d'Evelynn quant à savoir si elles étaient "des leurs", ne semblant pas faire référence au groupe, celui-ci leur offrit une porte de sortie immédiate par le biais d'un portail ouvert, alors que le groupe ne parvenait désormais plus à respirer sous la pression du monde s'écrasant sur eux.
Et dans un brouhaha assourdissant chacun traversa le portail, abandonnant l'Entre-Monde pour rejoindre le Marais destiné.