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Mélissandre Stehbran

Choisir, c'est renoncer

Tiraillée entre son héritage familial, ses ambitions, ses rêves et ses conflits internes, la jeune Stehbran peine à trouver sa voie et sa place.

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Les Thaumaturges

Lignées

Lignée Stehbran
Caractéristiques physiques :

Mélissandre porte constamment un surcot brodé d’or, elle en possède une déclinaison selon la température, de velours lorsqu’il fait froid ou de soie lorsqu’il fait plus chaud. Ses épaules sont surmontées de fourrure de vison et celui-ci se referme autour de son cou, formant un col. Sous ce surcot, elle porte une jupe plissée par-dessus un autre jupon, portée haute sur sa taille et par-dessus sa chainse rouge, elle est retenue et maintenue en place par divers laçages et par diverses pièces en cuir. Sa tenue, toute en symbolique, s’éloigne des couleurs royales telles que le bleu, favorisé au sein de sa famille, elle préfère le noir pour sa discrétion et sa symbolique : humilité, patience et tempérance, qui sont des traits qu’elle espère inspirer aux personnes autour d’elles. On retrouve également des touches de rouge, symbolisant alors la force, le courage et la charité, qui ne sont pas tant pour les apparences, mais ce qu’elle désirerait être. Elle complète sa tenue par une aumônière dissimulée sous son surcot pour s’affranchir des voleurs ainsi que d’une broche en or, rattachée par des chaînes à sa tenue, et accrochée à son surcot. Particulièrement travaillée, la broche prend la forme d’une lune pleine, diverses arabesques sculptées tout autour symbolisent les étoiles. Des fils d’or, nus de toutes pierreries en découlent, symbolisant la pluie. Malgré l’aspect ostentatoire de l’or, on pourrait penser que de nombreuses pierres précieuses sont présentes, l’œil attentif remarquera alors que c’est une pierre de lune en son centre et une vanadinite, des pierres n’ayant que peu de valeur. En plus de cette broche, elle porte une moitié de collier représentant deux chevaux et qui semble fonctionner en duo avec un autre collier et deux boucles d’oreilles en porcelaines qu’elle semble tout particulièrement chérir.


La jeune noble prête une attention toute particulière à sa santé et à sa forme physique et possède donc une carrure assez athlétique. Malgré ses nombreuses sorties, Mélissandre veille à conserver une peau relativement pâle comme l’exigent les codes de beauté de son rang. En revanche, contrairement à ce que la bienséance lui imposerait, elle laisse ses longs cheveux blonds libres. Ils retombent d’ailleurs sur son front en des mèches éparses et descendent sur son dos pour atteindre le niveau de ses omoplates. Enfin, ses deux yeux bleu-vert et son nez fin viennent orner un visage à la peau lisse et bien entretenue et aux formes arrondies.


Mélissandre ne porte aucune arme à l’exception d’une fine dague dissimulée dans sa botte droite. On la voit parfois avec une large sacoche de dessin dans laquelle elle transporte de quoi faire ses croquis de bâtiments.

 

Caractéristiques mentales :

Mélissandre est une adolescente entre deux eaux, et ce, à plusieurs niveaux.


Dû à la doctrine familiale dans laquelle elle a été baignée toute sa vie, Mélissandre haït profondément son don pour la géomancie. C’est d’ailleurs une des rares prières sincères qu’elle a faites régulièrement aux dieux depuis sa tendre jeunesse : celui d’être débarrassé de ses pouvoirs. Elle ne voit ceux-ci que comme un danger pour les autres qu’elle pourrait blesser et pour elle-même, car elle craint chaque jour que sa famille ne découvre sa nature et ne la rejette. Malgré tout, depuis son arrivée chez les Thaumaturges pour tenter d’arriver à enfin faire taire ces pouvoirs, Mélissandre découvre, peu à peu, une autre vision des dons et de la magie, mais surtout des êtres possédant un don inné.


Si elle sait aisément avoir des relations cordiales, la jeune fille reste particulièrement solitaire due à son incapacité à maintenir d’elle-même une relation pérenne avec les autres, et cela commence par sa propre famille. Bien qu’elle aime profondément sa famille, son grand frère, Tristan, est le seul avec qui elle a une réelle complicité et relative confiance. Le reste de sa famille lui est presque étranger, soit dû à une incompréhension mutuelle, soit car elle a peu l’occasion de les voir, et bien souvent les deux.


Malgré sa naissance dans une famille noble, Mélissandre aura toujours refusé l’éducation conventionnelle d’une “bien née”. Si elle s’y plie parfois par nécessité, elle évite autant que possible les réceptions et autres dîners mondains et a en horreur qu’on veuille la faire entrée dans le moule de la femme à marier. Elle est d’ailleurs, à l’heure où beaucoup de jeunes filles de son statut préparent leur mariage, parfaitement hermétique à l'idée de se marier, surtout dans le cadre d’un mariage noble arrangé.


Cette incapacité à nouer des liens est aggravée par le tumulte des émotions de la jeune fille qui peine à faire le tri de ce qu’elle ressent alors que son éducation lui a appris à rester impassible et digne. Si une part d’elle est émotive et susceptible, une autre est, ou désire être, terre à terre et humble. Cette dualité peut la pousser à des réactions excessives : elle est capable de s’emporter très facilement avant de faire marche arrière rapidement quand elle se rend compte qu’elle a dépassé les bornes.


Poussée par la culture familiale et le besoin de contrôler son environnement, Mélissandre à une vie particulièrement rythmée dont elle n’aime pas déroger. Ce besoin est à la fois issu de ses ambitions et de sa peur de perdre le contrôle de son “don”. Elle est parfaitement rigoureuse et studieuse bien que son impatience joue parfois en sa défaveur pour ce qui est de l’apprentissage de certaines disciplines, notamment artistiques, qui exigent beaucoup de temps avant de pouvoir faire quelque chose de satisfaisant.


Ayant grandi dans une famille élitiste, Mélissandre est compétitive et ingénieuse et mettra tout en œuvre pour être la première dans tous les domaines auxquels elle s'intéresse. C’est d’ailleurs de là qu'elle tire une partie de son impatience : lorsqu’elle n’a pas rapidement l’impression de pouvoir s'élever au-dessus des autres dans un domaine, elle aura tendance à cesser de s’y intéresser.


Elle est passionnée par les échecs et par l’architecture. Mélissandre peut passer de longues heures à observer des bâtiments, le temple de Donblas à Proncilia lui plaît tout particulièrement par le soin qui a été apporté aux vitraux notamment. Si elle s’y rend, c’est davantage pour observer l’architecture que pour prier. En effet, Mélissandre croit dans les dieux plus par conformisme que par réelle conviction.


Mais au fond d'elle-même, sans qu’elle n’ose réellement se consacrer pleinement à cette discipline, Mélissandre a toujours été encore plus attirée par l’archéologie pour l’étude des anciens bâtiments d’une part, mais aussi, car elle nourrit l’espoir de parcourir le monde et ses mystères.


 

Histoire :

Acte 1 – Enfance

L’acte 1 conte l’enfance de Mélissandre, perdue entre une famille qui en attend beaucoup d’elle et l’éducation délicate de Stehbran, elle découvrira le monde.


Chapitre 1 : Naissance et joyaux de Laure Stehbran. (1237 naissance – 26 falonas 1241 : 4 ans)

27 Falonas 1237 : Naissance de Mélissandre après un accouchement difficile, la tête blonde ravit sa mère et ses yeux bleus plaisent à son père, alors présent. On lui prévoit déjà une grande destinée, le Général Stehbran est convié pour sa fête de naissance. L’enfant, alors âgé de quelques mois, rencontre toute la famille Stehbran. Evidemment, aujourd’hui Mélissandre ne s’en souvient plus, mais elle se retrouvera forcée de se rendre à d’autres réunions de familles annuelles.


Elle grandira ensuite, entourée par Helga l’intendante de la famille qui déjà terrifiante, aura des colères formidables en l’absence de sa mère.


Elle sera baignée dans la doctrine familiale et dans la xénophobie des créatures magiques, les considérant ainsi moins évoluées que les humains.


Chapitre 2 : Pouvoir et déception. (1242 : 5 ans – 1244 : 7 ans)

La veille de ses 5 ans, le 26 falonas 1242, Mélissandre Stehbran après avoir essuyé une correction de la part d’Helga, lancera un sort venant faire trembler la terre tout autour d’elle, ne comprenant pas ce qui lui arrive mais en sachant que c’est anormal et subissant pour la première fois des contre-coups, elle aura l’esprit de ne jamais le révéler. Peu de temps après cela, sa mère, enceinte alors de sa petite sœur démissionnera, et restera bien plus à la maison. Mélissandre tout d’abord ravie de voir plus sa mère, et surtout de ne plus voir la terrible Helga, sera surprise de constater que celle-ci l’évite. Cette famille étant de celles qui expriment très peu ses émotions, Mélissandre se renfermera d’autant plus.


Lorsque sa mère accouchera de Capucine, sa petite sœur, le 11 persu 1243, Mélissandre ne pourra la voir qu’à deux ou trois reprises, sans plus. Sa mère accaparée par l’enfant et refusant que sa sœur ne soit trop en contact avec elle.


Ses seuls contacts amicaux se résumeront à la fille d’Helga, sans vraiment savoir pourquoi, Mélissandre sera incapable de vraiment la considérer comme une amie et gardera une distance polie et froide.


Chapitre 3 : A la quête du précepteur. (1244 : 7 ans – 1246 : 9 ans)

Mélissandre aura l’âge de recevoir les conseils d’un précepteur, et ses parents entameront les recherches pour en trouver un. Une série de précepteurs défilera devant elle, mais la jeune fille particulièrement renfermée ne se laissera pas atteindre par eux. C’est aux côtés de Tristan, son frère aîné, qu’elle se plaindra de ceux-ci. Leur ton directif, et leur volonté de lui apprendre les choses qu’une « fille bien née » devait savoir faire, ne convenait pas à la jeune fille. Elle ne voulait pas être seulement une noble à marier, pourtant ils s’acharnaient tous à la conformer à ce moule.


Le 17 arisis 1245, Tristan lui parlera d’un certain Félix Delacourt. Il lui expliquera alors une part d’ombre qui demeurait, leur mère ne leur avait jamais parlé des Delacourt sa propre famille. Celle-ci réservée, ne faisait entrer que très rarement en ligne de compte son héritage familial. Cet homme était l’oncle de leur mère. Elle accepta d’essayer et Tristan s’en alla négocier avec leur père.


Blaise détestait les Delacourt, mais grâce à l’action conjointe de Tristan et de Laure, et voyant les précepteurs se succéder, il accepta à condition qu’il ne soit pas trop onéreux.


De manière prévisible, Félix Delacourt s’avèrera être un bien meilleur professeur, si bien qu’au fur et à mesure des leçons où il lui apprendra l’histoire, la géographie, les mathématiques et la littérature, elle finira par lui révéler son don. Le précepteur lui indiquera de ne jamais en parler à sa famille et elle redoublera d’effort car aux précédentes matières, ils se retrouvaient en deux novices de magie, à essayer de comprendre les mécanismes de son don.


Si jamais elle ne put le contrôler, leur travail lui permit au moins de pouvoir distinguer que sous le coup d’émotions, elle devait chercher les signes précurseurs.


Acte 2 – Adolescence et premiers émois.

Avec l’adolescence viennent les premiers problèmes, perdue au milieu de pouvoirs qu’elle ne contrôle pas et se retrouvant de plus en plus seule, Mélissandre apprendra à construire des murs entre le monde et elle.


Chapitre 1 : Rigueur et routine, mères de toute sûreté. (1246 : 9 ans – 1247 : 10 ans)

C’est ainsi que débuta son adolescence, parmi les signes qu’ils avaient pu remarquer, l’importance était dans le contrôle. Au plus elle contrôlait son environnement, au plus simple c’était pour elle de gérer ses émotions. Dans la gestion de celle-ci, le début de l’adolescence serait une étape décisive, selon ce que lui avait dit Félix. La jeune fille restait de plus en plus seule.


Chapitre 2 : Amitié et abandon. (1247 : 9 ans – 1250 : 12 ans)

Les premières fois où elle y retournera, elle observera le Général Stehbran de loin, puis peu à peu tentera de se rapprocher jusqu’à se retrouver toute une soirée durant, le 19 sanfio 1247 à l’occasion d’un des anniversaires de son père, connues pour être le lieu de gigantesques célébrations où tout était à l’excès à l’exception du bon goût selon elle, à jouer une partie d’échecs contre lui. C’est une soirée dont elle chérit le souvenir, où s’éveilla tout particulièrement son côté compétitif. Abrégée rapidement à cause des signes précurseurs de sa magie qu’elle sentit venir, elle espère pouvoir partager à nouveau une partie d’échecs avec le général.


Durant ces années-là, elle se lia d’amitié avec Jesse Hurlefreux, il avait longuement été présent dans sa vie puisqu’il appartenait à une famille aisée, c’est alors qu’elle fera faillite qu’elle se rapprochera de lui. Loin de toute idée de romance, ils nouèrent une amitié basée sur la compréhension mutuelle, l’acceptation et les jeux. Cette période est l’une des rares où Mélissandre s’est sentie réellement insouciante et libre. Les manifestations de magie auront diminué.  Leur amitié trouvera leur scellement le 12 yuyio 1247 où ils se feront le serment de rester toujours amis en s’échangeant un collier d’amitié qu’elle ne quittera plus jamais : deux chevaux en or qui peuvent se rassembler. Elle regrettera par la suite de ne pas en avoir davantage profité.


Cette insouciance sera perdue en fin d’année lors du départ, de son frère aîné, Tristan Stehbran le 08 amoria 1247, il partira de la demeure familiale afin de rejoindre les ordres du Temple de Willanjis. Accompagnée de Jesse et de Félix, la jeune fille parviendra à ne pas s’effondrer.


Elle rencontrera en Deficos 1249, Théodore de Montvalor, qui rejoindra le duo d’ami. Si avec Jesse l’amitié n’avait donné naissance à aucun sentiments amoureux, la fragilité de Théodore lui donna instantanément envie de prendre soin de lui. De multiples sessions de jeu eurent lieu, notamment celui des échecs dans lequel elle devenait de plus en plus douée, s’inspirant du général. Si c’était une mauvaise perdante, elle gagnait toujours avec humilité, ce qui provoqua des disputes avec Jesse, toujours résolues par une blague dont seuls eux deux avaient le secret.


Les problèmes familiaux de Jesse avaient pris une proportion telle qu’il dû s’engager auprès de l’armée à 14 ans afin de ne pas souffrir de la débauche de sa famille. Il n’en avait aucune envie, mais se retrouva à devoir partir le lendemain de son anniversaire le 04 mortis 1250.


Sa magie devenait de plus en plus incontrôlable, souffrant de trop d’abandon, Théodore et Félix restaient les deux seuls présents, elle se retrouvait exclue de la famille : sa mère l’évitait, son autre frère Jacob et elle ne s’entendaient pas et Capucine était toujours perchée dans les bras de sa mère, son père quant à lui, brillait par son absence.


Chapitre 3 : Premiers émois et pouvoir. (1250 : 12 ans – 1252 : 14 ans)

Elle se rapprochera alors de Théodore Montvalor, celui-ci devenant son dernier ami avec Félix Delacourt. Helga rôdait toujours dans les parages, mais Mélissandre trop occupée à essayer de contrôler ses pouvoirs ne faisait pas attention.


Elle rencontrera, et cette date est à jamais gravée dans son esprit : le 17 Persu 1251, l’Archéologue Inaya, fascinée par la femme et ne sachant que dire de peur de sembler idiote, elle finit par se détendre tandis qu’elles traversaient la ville. La femme lui offrit une découverte qu’elle avait effectué lorsqu’elle se rendit compte que la jeune fille avait de multiples connaissances dans l’architecture, en même temps que de nombreux conseils. Depuis, elle arbore la broche de l’ordre des Archéologues de Minghelle aussi fièrement que possible. Son cœur balancera entre ce qu’elle s’imaginait devenir : architecte et les ruines du passé.


En parallèle, Théodore et elle se rapprocheront de plus en plus, jusqu’à se déclarer comme des amoureux. La vie suivit son cours, moins paisible qu’auparavant, elle échangeait des missives avec Jesse qui lui racontait alors les terribles instructeurs qu’il avait et les camarades qu’il se faisait.


Jusqu’à ce jour où on lui reparla mariage, elle découvrit qu’ils prévoyaient de la faire épouser Théodore mais depuis bien des années. Lorsqu’elle lui révéla le scandale, celui-ci ne fut pas surpris. Il s’était rapproché d’elle dans cet objectif. Là où cela aurait pu être une belle manière de créer d’un mariage arrangé de véritables émois, Mélissandre ne vit que la trahison. Ils étaient seuls, et entre les tumultes des abandons successifs et la sensation que sa dernière amitié n’était que de la poudre aux yeux, elle implosa et son don vint avec elle. C’est Félix Delacourt qui viendra l’assommer au milieu des pierres volantes et hostiles, il y perdra d’ailleurs son œil. De Théodore, elle sait simplement qu’il est vivant, Félix lui ayant assuré qu’il avait fait ce qu’il fallait, cet événement marqua la volonté de partir à Proncilia et eut lieu le 27 Deficos 1251.


Chapitre 4 : (1252 : 14 ans – 1253 : 16 ans…)

Au vu de ses dons qui deviennent de plus en plus incontrôlables, son précepteur Félix Delacourt s’entretiendra avec Laure Stehbran, sa nièce, afin de pousser la jeune fille à quitter la ville de Naep. Il prétendra que c’est pour l’apprentissage et qu’il a repéré une personne particulièrement capable dans la capitale d’aider la jeune fille à obtenir le métier qu’elle désire alors : architecte. Afin de la rassurer, il proposera qu’elle aille vivre chez son frère aîné, Tristan. Celui-ci est banquier de la cité et prêtre de Willanjis, elle arrivera à Proncilia le 10 sanfio 1252. Elle ne partira pas les mains vides, sa petite sœur, douée avec la porcelaine, lui confectionnera des boucles d’oreilles. Malgré la difficulté que les deux sœurs avaient à se parler à cause de Laure Stehbran et des problèmes que devait gérer Mélissandre, cela mit du baume au cœur de l’adolescente et elle les gardera auprès d’elle constamment.


Son objectif était de rejoindre les Thaumaturges, un groupe à la réputation sulfureuse mais qui abordait la magie de manière très différente, de plus son absence de lien avec la noblesse permettrait à la jeune fille de le faire discrètement. Elle entrera chez les Thaumaturges le 02 grimstel 1252, recrutée par Lucinda qui était maîtresse des Arts. Son objectif est de brider définitivement ses pouvoirs qui ont ruiné chaque événement de sa vie.


A Proncilia, elle se promènera bien souvent, observant les bâtisses et hésitant entre son envie de découvrir les architectures du passé et celles de l’avenir.


 

Relations :

Famille Proche : Blaise Stehbran (Père), Laure Delacourt (Mère), Tristan Stehbran (Frère), Jacob Stehbran (Frère), Capucine Stehbran (Soeur).


Famille Globale : Sigeberd Stehbran (Grand-Père Paternel), Odile de la Bruyère (Grand-Mère Paternelle), Azalée Stehbran (Grande cousine), Mélissandre Stehbran (Arrière Grand-Mère), Louise de Rivachel (La fille du frère du mari de sa cousine au cinquième degré).


Proches & amis :

Félix Delacourt - Grand Oncle, Confident et professeur.

Jesse Hurlefreux - Meilleur ami.

Jade - Fille d'Helga et amie d'enfance de Melissandre.


Autres personnes marquantes :

Inaya - Archéologue qui lui a transmi sa passion et sa broche.

Theodore de Montvalor - Ancien amoureux.

Helga - Intendante.

Lucinda - Maîtresse des Arts des Thaumaturges.

Nils - Capitaine de l'armée dont elle est un peu proche.


Mélissandre Stehbran

Âge : 16 ans

Date de naissance : 27 Falonas 1237

Race : Humaine

Taille : 172 cm

Métier : Aucun


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